SOURSKI vit et travaille à TRETS (13)
Autodidacte tombée dedans depuis l’enfance…
Mon chemin en tant que sculptrice est tout d’abord un tête à tête avec la matière. Elle est le médium de mes émotions, de mes ressentis, de ce que je peux happer dans l’air du temps.
« Avec ses sculptures en grès ou en bronze, nous entrons dans un monde irréel, où l’imaginaire et la matière font connaissance et se marient parfaitement. La fausse fragilité de la porcelaine se pose sur l’acier. La chaleur du bois frôle une partie en bronze. Il y a une réelle sensibilité dans les postures des corps, le mouvement du cou des volatiles au grand bec… Les visages renvoient nos questionnements. Ils nous interpellent jusqu’au fond des yeux. »